Inka Llacta® Un archéosite pour un projet développement durable en zone rurale andine
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Inka Llacta®

Le Projet de cité inca pour un développement durable

La problématique:
Les habitants des zones rurales andines pauvres ou défavorisées voient leurs concitoyens et enfants les quitter pour tenter leur chance dans les villes, grossissant souvent les bidonvilles de ces dernières.
Avec pour conséquence un changement brutal de vie, de valeurs, la confrontation avec la délinquance, la violence, la drogue, une précarité pernicieuse.


L'idée:
Offrir aux populations de deux villages andins, Ancahuasi et San Martin, la possibilité d'un avenir meilleur sur base de leur histoire, leur agriculture, leur culture, leurs traditions, des principes de partage, paix, sécurité, conservation des patrimoines, l'exemple. En revalorisant leurs cultures, connaissances, auto-estime, patrimoines, finances.


Comment ?

En construisant un archéosite refaisant vivre avec fidélité une cité de la haute noblesse Inca ou Inka llacta à l'époque de son apogée ou Inkanato montrant les patrimoines de ce temps et ouvertures sur le futur avec accent mis sur les parties agricoles (plantes natives),

architecturales,

 
artisanales, artistiques et productives.

Avec deux parties:

  1. une «Choque llacta» ou «Hanan saya» (au départ de un hectare) destinée à l'étude rigoureuse et à la compréhension par la reproduction minutieuse, les échanges avec les chercheurs, centres et visiteurs du monde.
  2. une deuxième «Kolke Llacta» ou «Urin Saya» pour l'exploitation moderne, imaginative et cohérente du site et des productions dans différents domaines (plantes natives, systèmes agricoles, protections naturelles et croisées, architecturaux, artisanaux, etc) .
Les deux s'appuient sur:
A/ L'archéosite lui-même, les patrimoines en référence et les recherches pour le futur les prenant pour base, les promoteurs de l'idée et la promotion elle-même
B/ Un conseil scientifique composé d'historien, agronome, guide, archéologues, etc
C/ Les habitants de la zone, avec la création de centres de formation, écoles et ateliers pour enfants et adultes leur étant destiné.  Une formation sur la gestion des ordures, le recyclage, les énergies propres (production, captation, usage, économie, etc), l'économie de l'eau, le traitement des eaux usées, etc.
D/ Une formation artistique et artisanale avec présentation des réalisations de ces dernières.
E/ L'enseignement de l'histoire préhispanique
F/ Les chercheurs, étudiants extérieurs et locaux qui viendront y étudier, travailler, échangeront leurs analyses et spécialistes de la biodiversité : identification,  préservation, utilisation rationnelle.
G/ Les professionnels de différentes spécialités intéressés (grands chefs, diététiciens, thérapeutes, couturiers, designers, distributeurs, importateurs/exportateurs, architectes, producteurs, etc) .
H/ Les visiteurs, leurs participations financières (entrées, achats), la promotion bouche à oreille.
I/ Les organismes d'appui aux projets de développement rural, sponsors et mécènes.
J/ Les productions audio visuelles et autres permettant la promotion du projet, de l'histoire et des patrimoines par l'entremise de livres, revues, BD, CD, DVD, reportages et films à caractères documentaires, culturels, commerciaux et les représentations qu'elles signifient:


BD

Etudes comparatives é documents de chroniqueurs tel Guaman Poma de Ayalla, Martin de Murua ou autres sur plans documentaires et autres relatifs aux cultures préhispaniques.


E/ Par la création de centre de formation écoles et ateliers pour enfants et adultes, pour :
  1. des réalisations architecturales, incluant l'étude des matériaux, des sites
     
  2. des créations ou copies artisanales en céramique, textiles, pierres, et autres matériaux
  3. une formation à la gestion de micro et petites entreprises et le principe coopératifs.
  4. une formation sur la gestion des ordures, le recyclage, les énergies propres (production, captation, usages, économie, etc), l'économie de l'eau, le traitement des eaux usées etc.
  5. Formation artistique et métiers des arts ou liés à eux.
  6. Enseignement de l'histoire préhispanique sur un plan
  7. La canalisation de la violence, dans des reproductions de mises en scène de cette dernière dans l'histoire. Mieux la connaître pour ne pas répéter ses erreurs.
G/ La création d'un petit mouvement de jeune de type boyscouts .

La situation

Au Pérou, à environ 40 minutes de l'ancienne capit ale Inca de Cusco, sur un peu plus d'un hectare, dans la zone de Ancahuasi, zone de Zurite, se trouve le terrain où se développe le projet d'une cité selon les principes architectoniques de l'époque inca, dans l'idée de reconstituer intégralement un environnement de l'époque de l'Inkanato ou époque impériale inca. Les coordonnées: 790641 E. et  8510650 N à 2920m d'altitude, nous indique notre GPS.
Pour le voyageur sans GPS: Il faut quitter Cusco en direction du village de Poroy (où se trouve aussi la première gare du trajet en train vers Machu Picchu), puis prendre à gauche  à l'embranchement principal (près de deux  stations d'essence), donc en direction d'Abancay, Anta et Izcuchaca.
Passer la zone de Cachimayo, puis les villages de Puckyura, Compone et enfin Ancahuasi.
Entre le site de Quillarumyioc - Koriwayrachina - Incaracay  et un nouveau site identifié dont les fouilles viennent d'être entammée par l'équipe de Teo Paredes, mais dont le nom ne nous est pas encore connu et dont les coordonnées sont pour l'UTM (Universelle Transversale Mercator) 791031 E. et  8511563 N. Quant à ses coordonnées géographiques elles sont de:  72°18'12" longitude Ouest et 13°12'40" de latitude Sud.
 
A dix minutes en voiture le projet Andenes, d'étude des plantes en milieu Andin sur terrasse de culture d'époque inca et notamment des plantes natives.
50 hectares de terrasses de cultures sur une infrastructure construite il y a plus d'un demi-millénaire sur environ 1500 hectares.



  1. A charge de notre ami l'ingénieur agronome Ladislao Palomino.
  2. Combien de types de pommes de terre connaissaient-ils? Est--il vrai qu'il en connaissaient plus de 200 ? Plus de 2000 ? Combien en fait?

    Inka Llacta se situe dans la grande vallée où se serait notamment déroulé la bataille de "Jakijawana" , opposant "Pizarristes" et "Almagristes" sous l'oeil d'abord amusé des gens de Manco Inca qui espèrent avec lui qu'elle déstabilisera et affaiblira la puissance des conquistadors. Pour consumer cette querelle ils se proposent d'appuyer un des camps aux fins de faire basculer definitivement le sort de la région en faveur de ses habitants légitimes. Mais, les conquistadores, flaireront le danger et préfèreront remettre leur querelle à un peu pmus tard et s'allieront contre Manco Inca et ses troupes!
  3. Ce projet touche à la légende.
     
    Celle de la renaissance d’un empire, dont le projet commence par la construction de la première cité Inca, non seulement du point de vue architectural, mais de toute la vie impériale Inca et Hatun Runa,  symbole de sa renaissance dans les esprits entourés des Apus dieux et esprits sacrés de la cosmogonie du Tahuantinsuyu et de la symbiose entre l’impérial, le divin et le populaire.

    Une sorte d’ «Archéosite» comme on en trouve en Belgique à Ramioul (préhistosite) (60.000 visiteurs par an)

    ou en France à Guédelon (240.000 visiteurs par saison de 8 mois)et ailleurs.

    ici Inka Llacta
     
    Mais, peut-être plus dirigé vers les chercheurs, universitaires, les écoles et les professionnels que vers
    Le tourisme proprement dit.
    D’ailleurs en l’actualité la seule agence autorisée à y mener des voyageurs et y faire des visites guidées, dégustations, etc est au moment de la rédaction de ces lignes :
    L’agence belge « Aventura Latino Americana » pour plus d’informations : perou@amerique-latine.com
    Et le site web : http://www.perou.net                                     

    Les points marquants du projet Inka Llacta
     
    Architecturaux:
    possibilité de visite de carrières et de sites datant de l'époque inca, d'appréciation de la qualité des pierres utilisées dans la construction comme de l'adobe.

    étude par la construction des principe architecturaux incas et pré-inca en respectant strictement les techniques d'époque.
    Allant de la recherches des instruments et outils utilisés pour mesurer, vérifier les verticalités et horizontalité comme les niveaux, les "fils à pierre" (ayant fonction de fil à plomb), les théogolites d'époque, les palettes, etc.
    Et les utilisant pour faire les relevés de terrain, prévoir puis élever les constructions prévues.
     
    1.- Fil à pierre (les incas n'avaient peut-être pas de fil à plomb) Huaypa o Huypaychi
    2.- Niveau   - Kcapacchana
    3.- spatule - lluskachana ou Thupana
    4.- Cordel ou mètre - Huasca yupana
    5.- Teodolite - seccana ou Chutana
    6.- repères de bois- Yupana Kasphi
    7.- hachette- Huituna.
    Ci après des photographies des tracés pour situation de la future cité Inca et début de la construction
         

    La construction
    Les principes anti-sisimiques, la diversité de matériaux mis en présence (comme l'adobe, la pierre, le bois, l'herbage, le cuir), la distribution fonctionnelle etc autres.
    Tenter de comprendre l'architecture inca et voire les applications potentielles actuelles.




    Fonctionalités et décorations d'intérieur
    :
    Etude du cadre du confort, de la thermorégulation des intérieurs, du mobilier, de la décoration, des fonction des locaux et constructions diverses. En effectuant les décorations, en tentant de les récréer et surtout en vivant pendant un laps de temps déterminé dans les conditions d'époque.
     
    Agricoles
    Etude des architectures agricoles, des outils, des techniques agricoles et des plantes natives NON hybrides, NON transgéniques, produisant de éléments comestibles,  thérapeutiques, magiques, ou d'autres fonctions (même seulement bdécoratives)  cultivées à l'époque inca entre autres:
    • pommes de terre natives et autres tubercules natifs du Pérou
    • sara (maïs) natifs
    •  kiwicha
    • Quinua
    • Cañihua
    • Tarwi etc


  4. Des études des éléments arboricoles et autres plantés ou croissant naturellement à l'époque inca tels:
    • Sauco ou huaranway (Sambucus peruviana)
    • Chachacomo (Escallonia resinosa)
    • Queuña (polylepis sp.)
    • Quishuar (Buddleya sp.)
    • Capuli 
    • Supaycorcco
    • Pisonay etc


Mais aussi des techniques de contrôle de l'époque pour venir à bout des attaques qui vulnérabilisaient et continue de vulnérabiliser les cultures par le passé, y comprit les repélents naturels, les techniques de cultures existantes et celles qui pourraient en découler par l'étude de la rationnailsation potentielle SANS ajouts chimiques ni manipulations génétiques. D'une façon générale l'étude de la faune et la flore
Mais aussi ceux de la conservation des aliments et autres éléments utiles à la population et aux classes qui les dirigent comme aux vassaux et autres alliés.
Pour ce faire ici aussi avant la construction, visite des sites où se trouvent les différentes colcas ou qolqas gerniers, réfrigérateurs inca comme ceux de Cheqoq, Ollantay tambo, Raqchis etc.
  Greniers ou Colcas de Raqchis

Marka ou lieu de préparations des aliments avant entreposage à Puma Marka Greniers ou colca d'Ollantaytambo
Le concept d'élevage
Ici centré surtout sur l'élevage intramuros de l'époque comme celui des cochons d'Indes et puis hors de l'habitat des llamas, alpaca etc.
   
Culinaire et diététique
Par la recherche des saveurs potentiellement apportées à l'art culinaire impériale antique grâce aux systèmes de conservation, aux mises en présence des produits existant il y a cinq cents ans, par complémentarité, contrastes, etc.
Les valeurs nutritives auxquelles avaient accès les nobles de cette période de l'histoire en cette région du monde
Les épices, les systèmes de coctions, etc.
Pour comprendre la qualité alimentaire dont bénéficiait la noblesse à l'époque inca dans les Andes et les apports de complémentarité des produits importés à cette époque des différentes régions de l'empire et notamment de la côte et de l'Amazonnie.
Pour développer les apports que leurs études apporteraient dans le monde d'aujourd'hui ou de demain sur les plans culinaires et de hautes cuisines, de santé, de la diéthétique.
Pour les grand chefs actuels ou futures.Dans une recherche accentuée d'une bonne alimentation et de nouveaux apports à la santé et la vie saine par ce biais.


Mais aussi des types de vaisselles luxueuses utilisées pour servir la haute noblesse et par celle-ci pour montrer son importance et savourer leur puissance.


avec une différence marquée si l'on compare avec les musée du pays.

C'est d'une part que les objets de vaisselles, servant à la coction etc sont des copies fidèles et non des originaux, d'autre part que dès lors vous pourrez non seulement toucher les objets, mais encore que on vous servira les plats et les ingrédients de vos repas dans cette vaisselle dans laquelle donc vous pourrez vous sustanter!

Utilisant aussi les couverts d'époque tels les tcouteau particuliers ou "tumis"

Selon les critères de la cuisine Novoinka, c'est-à-dire réalisée essentiellement voire totalement avec des produits connus à l'époque Inca sur le territoire du Tahuantinsuyu,  créée par Guy Vanackeren et Elena Gamarra et mise au point en collaboration avec  Elena Gamarra, Mario Campo avec l'aide de Gérard et Manuel Cruz du restaurant Inkanato.
 

Le plan vestimentaire
par l'étude des fibres végétales et animales et autres éléments utilisés dans la confection inca et des cultures qui leurs étaient contemporaines.
Mais, aussi par l'expérimentation en portant de façon permanente durant plusieurs semaines, des vêtements de confection d'époque, en tentant de respecter les modèles selon les usages du temps de référence, mais permettant aussi aux couturiers et grands couturiers d'y trouver de nouvelles inspirations.

Des objets utilitaires et décoratifs
Dans les différents matériaux et notamment la céramique, l'utilisation d'élements végétaux et animaux, le bois, la pierre, les métaux etc.


Les principes mélodiques du passé
Les instruments, musiques, chants, rythmes etc.
Les aspects sociaux etc
Historiques et archéologiques.

INKA LLACTA® recherche
Des mécènes et sponsors pour le développement des travaux (constructions, créations des ateliers, et centre d'apprentissages et ateliers)
Des chercheurs et spécialistes en: archéologie inca, architecture inca, agronomes spécialisés en plantes natives andines et tahuantinsuyennes notamment sur les plans alimentaires, thérapeutiques et du bien être, des protections agricoles croisées, des diététiciens, gastronomes, chefs de cuisine, etc
Offre des possibilités de stages

Inka Llacta® souhaite entrer en collaboration avec des écrivains, scénaristes, dessinateurs, auteurs de BD, réalisateurs, metteurs en scène, acteurs, producteurs, distributeurs etc pour l'aide à la diffusion historique de l'époque Inca, ou ses travaux.

Inka Llacta® est un projet conçu par Guy Vanackeren© et appuyé par une équipe formidable composée notamment de:
Carine Beckers de Vanackeren
Elena Gamarra
Wendy Chillihuani
Clara Loaiza
Virginia Pauca
Yolande Pirsoul
Jean-Christophe Vanderhaegen
Jean-François Ghyoot
Ladislao Palomino
Nivardo Carrillo
Mario Campos
Victoriano Chillihuani
Georges Baliko
Greg Deyermenjian
Manuel Cruz
Gérard Churata

 
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